Vingt-quatre ans de baignoire

Publié le par L. Eliot



Et dans l’impossibilité de partir, de sentir ce vent nouveau des plaines inexplorées, ce Berlin de toutes mes pensées (avez-vous vu la chaussée désertée, le soleil des familles enfoirées ?) je crie mes west écumés, mon shopping acculé, ma passion des fleurs de l’année.

Non, ton cul osseux "pas de cul ce soir" est oublié, merdent les pigeons à nettoyer, ton petit visage de pd, ton petit visage de cité, la rue, le café "goodbye" est à toi, l’arrivée des "je t’aime" va chier, bonjour Louisia "un bon bol de vin chaud" et l’été,

 

Cratères adorés, son corps avait la pluie des matins je m’en vais. La porte claque et Carol "New York" Hudson, les matins d’hiver attendent.

 

Et les noirs : vingt-quatre ans de baignoire. Guelph le jour et Bruxelles la nuit.

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O
Ces 24 un 14 étaient ils un anniversaire ?
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R
Très beau texte, je vous en félicite, j'espère en lire d'autres, comme celà<br /> <br /> Bien à vous,<br /> <br /> RRdC
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