Le Jardin de roses
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C'est une course folle ou une attente de trois mois, un arrêt égocentrique mais sous la tempête, une nécessité coquette.
Le jardin de roses, c'est un endroit aride et fertile, que je maltraite à force de vouloir rendre confortable. Le jardin de roses est très très froid ; ma présence le rend tiède, comme une de ces serres à l'anglaise, lieu stéréotypé avec fauteuils en paille, et buée sur les vitres pour les rigueurs de l'hiver.
C'est un peu tout ça et finalement pas grand chose, dix-neuf petits textes qui auraient pu se suivre si j'avais de la suite dans les idées. Trop légers, ils s'envolent aussitôt écrits, et disparaissent aussitôt lus.
De la neige sur du métal...
C'est un cri d'impuissance, et c'est toujours ça.