Berlin d'EUrope 4

Publié le par L. Eliot

Prenzlauer Berg


venant des arbres
le vent du matin balaie
les avenues bourgeoises
un piano court
la lumière perce
le plafond nuageux
une voiture passe, freine
s'arrête au feu
brille de soleil

veille, veille,

je m'écroule au parc
de l'inutile rosée
où seul au bout
des avenues bourgeoises
je sens, venant des arbres
le vent du matin blafard
balayer mes cheveux
gras d'une nuit de veille.
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C
de natashqan à berlin...il n'y a qu'un pas..je l'ai rêvé...comme cette nuit sangsue-elle passée chez Adlon...
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